Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

 

 >> Carmen Clavel || Chantier

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




>> Carmen Clavel || Chantier Empty
MessageSujet: >> Carmen Clavel || Chantier   >> Carmen Clavel || Chantier EmptyDim 8 Juin - 23:25

free music

DANS JEU

>> Carmen Clavel || Chantier Ljncam10 >> Carmen Clavel || Chantier Ljncam11 >> Carmen Clavel || Chantier Ljncam12
« La mort est une toute autre aventure ».

IDENTITÉ


Nom & Prénom(s) : La jeune demoiselle brune que vous voyez là a un nom peu original. C’est un soir de pleine lune, quand les étoiles étaient au plus haut dans le ciel qu’une dénommée Camille Campbell décida de nommer sa fille Carmen, elle trouvait ce prénom proche du sien et trouvait que c’était une bonne manière pour toujours se sentir proche de sa fille. La jeune Carmen à deux autres prénoms, des prénoms seconds, le premier de ces deux prénom est Camille (là pour le coup, plus proche de sa fille on peut pas) et Hélène, vous l’aurez compris, Carmen est française. Le nom de jeune fille de Carmen est donc Campbell, mais ce n’est pas celui-là qui nous intéresse. S’étant marié, elle a bel et bien pris le nom de famille de son époux Eléazar Clavel, donc son nom complet est Carmen Camille Hélène Clavel, plus couramment Carmen Clavel.
Âge : Carmen avait dix-huit ans lorsqu’elle fut mordu par son époux, et elle a donc, d’apparence, cet âge là. Mais la vérité n’est pas de même car elle a 188 ans, et oui, 188 ans qu’elle vit (si on peut dire) sur cette terre, 188 ans qu’elle la voit se rendre à son autodestruction. Mais bon, ça n’est pas avec ses deux petits bras qu’elle changera ça !
Lieu & Date de naissance : Carmen est née en Février, il faisait froid ce jour-là, en 1920 … Les rues de Paris n’étaient plus éclairées depuis longtemps déjà.
Année de Décès, de la transformation : Carmen s’est fait mordre en 1938, 18 ans après le jour de sa naissance, jour pour jour … Elle est morte ce jour-là.
Nationalité : Carmen, même si son nom nous ferait tous pencher pour une nationalité italienne, est en réalité française, et oui, elle est née en plein Paris, au centre de la capitale de la mode.
Profession : Carmen a durant de longues années, été étudiante, elle a tout étudié d’ailleurs, mais quand on ne fait qu’étudié pendant cinquante ans, ça devient laçant et on commence par tout connaître par cœur. Alors un jour, comme ça, Carmen a prouvé avec ces incroyables connaissances en toutes les matières et avec son incroyable maturité à ses professeur que malgré ses dix-huit ans (qu’elle avait depuis cinquante ans je le rappelle), elle pouvait aller loin. Elle est donc devenue professeur de français, puis professeur à la fac, maître de conférence, prétendant à ses collègues que la crème anti-ride faisait des miracles. Mais grace à ses nombreux diplomes, elle change souvent de travail.


LE PERSONNAGE


Histoire, avant la transformation :
- Carmen, ne lâche pas ma main ! Je t'en prie ! Tiens bon ! On va s'en sortir ! Je te le promet ! Ecoute moi ! Ne ferme pas les yeux ! Reste avec moi ! Carmen ? Carmen !! Non !

Je m'éveillai en sursaut, son nom résonnant encore et encore dans ma tête, tambourinant mes tempes avec acharnement, à moins que ce ne soit simplement le sang, semblable à de l'acide, qui me rongeait de l'intérieur, à la manière d'un remord incommensurable. Plusieurs gouttes de sueurs perlèrent sur mon front, alors que le félin qui dormait à mes pieds avait pris peur, et avait échappé à ma folie en retrouvant le calme de la cuisine. Le souffle haletant, je fis mon possible pour cerner un semblant de raison, en vain. Cette dernière paraissait m'avoir abandonnée, comme tout ceux qui m'entourent et ce depuis ma naissance. J'étais seule, inexorablement. L'ombre prenait à présent l'immensité du tableau blafard de ma vie, me rappelant opiniâtrement que j'étais une meurtrière. A plusieurs reprises j'avais songé à m'abandonner dans les limbes de l'Enfer, seul lieu qui voudrait encore de moi, mais c'était sans compter sur l'horreur d'une existence sans but, car même la mort me rechignait ses plaisirs. Ce rêve ponctuait mes nuits depuis l'âge de dix huit ans. Jamais le sommeil ne s'était emparé de moi sans que cette fameuse journée ne me hante...

Je naquis pendant une nuit d’hiver, au mois de Février, l’année 1920. D’après les dires de ma mère, j’étais un magnifique bébé, pas très gras, même pas gras du tout, certes, mais un beau bébé quand même. Elle avait toujours eu un penchant inexorable pour les gros bébés dodus, mais elle s’était contenté de moi, ça lui avait suffit. Ma mère, nommée Camille, me nomma Carmen. Non, détrompez-vous, je n’ai aucune, je dis bien aucune, racine italienne, même pas une petite goutte qui coule dans mes veines. Le pourquoi de ce prénom est vérité tout autre. Ma mère à toujours eu peur de finir toute seule, d’être rejetée, et ce même par ses propres enfants, c’est pourquoi elle a donné un prénom très proche du sien à sa fille. Et devinez un peu à quel deuxième prénom j’ai eu droit ? Et bien oui, c’est cela, Camille. A cette maman … on peut dire qu’elle avait une imagination à toute épreuve. Mon troisième nom –on dit bien « jamais deux sans trois »- est Hélène, un assez vieux prénom français, mais en même temps, ça date de 1920. Ce prénom là, pour le coup, je crois que ma mère le trouvait simplement joli. Oui je sais, ça doit vous sembler bizarre que ma mère est eut elle seule son mot à dire sur mes prénoms, mais en ce temps là, un homme ne s’occupait pas de ses choses là. Je crois même que mon père me vit pour la première fois trois jours après ma naissance, lorsque la voisine infirmière chez qui ma mère avait accouché avait décrété qu’il était maintenant temps de rentrer. Tu parles ! C’était bien la peine, pour seulement trois jours ! D’après ce qu’on m’a raconté, ma première approche avec mon père ne fut pas brillante, ma mère venait de me donner le sein et lorsque mon père, un peu brute à l’époque, me prit dans ses bras, je crois bien tout lui avoir renvoyé. Mais bon, ça, je n’en sais trop rien, on me l’a seulement raconté, et dieu seul sait comme ma mère était menteuse. Non, je ne crache pas dans la soupe, elle était vraiment une extraordinaire maman, seulement elle mentait tout le temps.

Mes premiers pas et mes premiers mots, je les fis en présence de ma mère –une femme ne travaillai pas à l’époque-, mais pas de mon père –un homme travaillait beaucoup à l’époque-. Ma mère m’a dit un jour, que le premier mot que j’eu prononcé fut « papa », ça n’était pas bien compliqué, le mot était composé de deux syllabes, et de surcroît, de deux syllabes identiques ! Il parait que mon père était un médecin très réputé, et qu’il était en plus de cela, chercheur, il tentait d’aboutir à quelque chose grâce aux recherches de Louis Pasteur, son rôle était également de finir les recherches de ce dernier. C’est sans doutes à cause de cela que je ne le vis pas beaucoup pendant ma petite enfance, il fut beaucoup plus présent quand il ne s’agissait plus de changer les couches. J’eut une petite enfance très heureuse, ma mère était très présente, je me souviens d’avoir beaucoup joué à la poupée avec elle, même si la plupart de temps, c’était moi la poupée. Elle me brossait les cheveux constamment, m’achetait des robes avec le peu d’argent qu’elle arrivait à dérober à mon père pour ses dépenses personnelles. J’en voulus beaucoup à ma mère en grandissant quand elle continuait d’acheter une multitude de babioles, elle savait pourtant pertinemment que son père avait du mal à arrondir les fins de mois, parfois il ne les arrondissait pas du tout.

- Il n’y a que toi qui peut illuminer ma route, quand t’es pas là je suis toujours dans le doute.

Un café sur la place, un thé parce qu’il fait froid, c’était tout ce dont j’avais besoin adolescente. Jusqu’à ce que je le veuille, lui. Nous habitions à l’époque dans une ferme, même si mon père était médecin, il semblait voué à la ferme. Je l’ai vu pour la première fois alors que j’étais en train de patauger dans une flaque d’eau , au bord de la route, il est passé devant moi à bicyclette et en roulant dans la dite flaque, m’a totalement douché ! Il s’était alors arrêté, et m’avais lancé d’une voix angélique un petit « désolé mademoiselle ». C’était comme dans un film, dont je ne comprenais pas l’histoire, c’était comme un coup, à cause duquel la douleur reste à jamais, comme une joue gravée de mes larmes. Je venais d’enregistrer sa voix dans ma mémoire, et à ce moment précis, je sus que cette voix, même si je le voulais, jamais je ne l’oublierais ! Tout le reste se passa très rapidement, il m’avoua n’être qu’un garçon de ferme, mais je m’en fichais. C’est dans sa grange qu’il m’avoua les sentiments qu’il portait à mon égard. Nous échangeâmes un baiser et notre relation dura bien plusieurs mois.

Je venais d’avoir dix-huit ans quand ça arriva… J’étais chez lui, dans la même grange dans laquelle nous avions échangé notre premier baiser. Et, ce bien ironique, c’est également dans cette même grange que nous allions échanger notre dernier baiser. Le jeune homme, d’un an mon aîné, m’embrassa soudainement fougueusement, trop fougueusement ! Je l’avais donc frappé au visage, ma paume était rouge, et j’eu un mouvement de recul, mais je butai alors sur une planche de bois, pour m’empaler de dos sur une fourche. Une douleur fragrante me scia toute entière, un liquide commença à se disperser autour de moi… mon sang. Une nouvelle fois, une douleur flagrante me fit frissonner, je ne pouvais bouger, mais je pense que ma plus grande douleur à ce moment, fut plus mentale que physique, je me rendais peu à peu compte que la vie me quittait tout doucement, et que je risquais de ne jamais plus le voir, ni lui, ni ma mère, ni personne… Mais le destin en décida autrement.

Histoire, après la transformation :
- Un jour tu comprendras la vie qui est la mienne, ces folies qui ne sont que de moi. Un jour tu comprendras que ça en vaut la peine, alors je te dirais tout bas : je vis ma vie un peux pour toi.

J’eu souffert un certain temps avant de mourir, et je me souviens que quelqu’un m’avais mordu, je croyais alors à un médecin charlatan feignant avoir trouvé un nouveau remède. Mais contre toute attente, je m’éveillai quelques jours après ma mort, me trouvant face à face avec lui. Mes parents l’avaient accueillit chez nous pour être notre homme à tout faire, et oui, il savait parfaitement tout faire. De deux ans mon aîné, ce jeune homme ténébreux tomba amoureux de moi à sa première vision de moi, il me le raconta un peu plus tard. Bizarrement, lorsqu’il m’avoua être un vampire, je le cru, j’était très naïve, et en plus il fallait tout de même avouer que je venais de m’éveillé après avoir fait face à la mort. Et ce grâce a lui. Et oui, il m’expliqua m’avoir mordu sur mon lit de mort, et que j’étais dorénavant un vampire, une suceuse de sang. Je ne pouvais pas concevoir cela, alors, comme pour me venger, je me suis mis à tué, tué, et tué. Tuer. Un mot si simple. Ouvrir un tiroir, saisir un couteau, le dissimuler dans sa manche et s’en aller longer les boulevards aux heures d’affluence… L’acte est aisé, il est à la portée de chacun d’entre nous. Attraper la personne par l’épaule et lui enfoncer le couteau dans la gorge lorsqu’elle se retourne ne comporte aucune difficulté. Nous en avons tous rêvé un jour et nous pouvons tous le faire un jour. Au fait, je ne me suis pas présenté, voyez-vous, votre âme est un plateau d’échecs, le bien contre le mal, les blancs contre les noirs ; j’en suis les pièces noires. Ce jeu n’admet pas le hasard, tout est calculé et prévu à l’avance, vous ne pouvez compter ni sur la providence, ni sur une aide extérieure. Il n’y a que vous et moi. Je vais vous rappeler quelques règles élémentaires, et lorsque vous serez prêt, nous commencerons la partie. Je ne faisais que ça, et ma soif de sang grandissait de plus en plus. Mais mon « sauveur » m’arrêta, Eléazar Clavel, il me fit rejoindre un groupe de végétarien, il me sauva une nouvelle fois inconsciemment. Nous eurent une liaison, une liaison qui devint de plus en plus sérieuse, et un beau jour d’hiver, alors que la neige m’arrivait aux chevilles, il me demanda en mariage, et pleine de joie, je m’empressais d’accepter. Evidemment, même si parfois je regrette mon amour d’adolescence, je ne regretterai jamais mon mariage avec Eléazar, et je l’aime énormément. J’ai donc pris son nom de famille et devint Carmen Camille Hélène Clavel. Oui, un nom à coucher dehors !

- Carmen, tu es une catastrophe ambulante ! Si un jour tu me dis avoir ouvert la boite de Pandore, crois-moi, je te croirais sur parole !

Après mon mariage, j’entrais en fac de lettres, jusqu’à ce que j’obtienne mon doctorat. Je me mis donc à enseigner le français au collège, puis au lycée, et quand je me sentis vraiment à l’aise, je devins mettre de conférence, professeur à la fac. Au fil des années, je fus obligée de changer de faculté ou enseigner, on se posait souvent des questions car mon apparence ne changeait jamais, et au bout de dix ans, ça devenait plus que suspect. Puis, il y a quelques temps, j’ai décidé d’arrêter, de m’installer vraiment et purement avec Eleazar, de profiter, si je peux le dire, de la vie.

Caractère : (10 lignes minimum)
Descrïption Physique : (5 lignes minimum)


RELATIONS


Familiales : (5 lignes minimum)
Amicales & Amoureuses : (5 lignes minimum)

----------------------------------

HORS JEU


Prénom & pseudo(s) connu(s) :
Où avez-vous connu le forum ?
Présence sur le forum [De 1 à 7] :
Comment trouvez-vous le forum ?
Un mot à ajouter ?
Célébrité :


Dernière édition par Carmen Clavel le Lun 9 Juin - 23:17, édité 8 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




>> Carmen Clavel || Chantier Empty
MessageSujet: Re: >> Carmen Clavel || Chantier   >> Carmen Clavel || Chantier EmptyLun 9 Juin - 19:00

Post Réservé.
Revenir en haut Aller en bas
 
>> Carmen Clavel || Chantier
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: O F F S I D E. :: » Archives :: » PRESENTATIONS-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser