Alana Volturi | UC

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DANS JEU

« La mort, Vampire de l‘Amour ».

IDENTITÉ

Nom : Volturi
Prénom(s) : Alana
Âge : 18 ans
Lieu & Date de naissance : Londres, 1870
Année de Décès, de la transformation : 1888
Nationalité : Anglaise
Profession : Etudiante à l’Université

LE PERSONNAGE

Caractère :

Il est difficile de décrire le caractère de quelqu'un surtout en sachant qu'on le peut avoir des réactions différentes celon la situation, les moments que l'on a vécut, les choses que l'on a enduré ... Tout ceci forge un être. De plus si il était si facile de cerner une personne au premier coup d'oeil les psychologues n'existeraient pas et notre vie ne serait pas faite de certaines déceptions. Mais puisqu'ici il le faut, allons - y !

" Tu es une erreur, tu es inutile " Quand les yeux d'un Volturi croisent les siens l'évite ou elle baisse la tête , cela est devenue automatique, elle se sent misérale, rabaissée. Et pourquoi ? Parce qu'elle n'était pas destinée à se transformer, juste à servir de nourriture et le fait qu'elle refuse de tuer simplement par plaisir et de boire du sang humain n'a certainement pas arranger les choses. Non elle en est incapable car sa vie d'autrefois est restée graver au fer rouge dans sa mémoire, c'est trop difficile d'oublier. Au début il lui était incapable de s'abstenir, pendant longtemps elle n'a pas pû dire " non ", son instinct de prédateur la contrôlait sans jamais lui laissé le choix, réclamant sans cesse du sang. Mais au fur et à mesure elle a sû prendre le dessus et c'est à cette époque que la honte est apparue, la dévorant de l'intérieure jour et nuit sans jamais la quitter. Deux siècles passèrent et une haine profonde pour sa famille avait grandit. Son véritable caractère, celui d'autrefois refaisait surface : Energique, dynamique, elle aime bouger, se dépenser et n'apprécie pas les personnes trop molles. A l'inverse elle apprécie le calme, la solitude, la tranquillité et aime se réfugier dans sa musique qui l'aide à évacuer et ressentir les choses. Alana est en générale quelqu'un de très doux qui sait écouter les autres et leur donner des conseils avisés mais étant nouvelle dans le coin elle n'a aucun amis. De plus les vampires connaissent son identité et se méfie d'elle juste parce qu'elle porte le nom des Volturi mais elle est bien décidée à leur montrer qui elle est vraiment. La jeune femme n'aime pas particulièrement se battre mais lorsqu'il le faut elle n'hésite pas, de plus être capable de se défendre est devenue necessaire. Elle tient à ce qu'on la respecte, elle ne veut plus être faible. La jeune femme s'énerve vite, démarre au quart de tour et prend tout à la lettre mais malgré cela Alana arrive à faire preuve de maîtrise de soi. Elle est même douée dans la diplomatie, intelligente, elle est capable de se sortir des situations compliquées et de comprendre la compléxité des choses. C'est pourquoi après tant d'années, faire des études ne la gêne pas, bien au contraire elle en profite car lorsqu'elle était humaine elle n'avait pas eu cette chance. Elle a soif de connaissance.

Description Physique :

Comme tous les autres vampires la peau de la jeune femme est extrêment pâle, d'un joli blanc laiteux. Cela lui confère l'apparence d'une poupée moulée dans de la porcelaine, fragile et cristalline. Une peau de pêche, aussi douce que celle d'un nourrisson au parfum agréablement fleuri.
Ses grand yeux bleu ( qui changent étrangement de teinte celon son humeur ) sont la première chose que l'on remarque chez elle, ils attirent souvent les regards, pas seulement à cause de leur couleur mais parce que l'on peut deviner ses sentiments. Ces derniers sont surmontés par de fins sourcils bruns, mis en valeur par de longs cils. Son visage est ovale, ses pommettes sont hautes, ses traits sont lisses et bien dessinés et son petit nez droit se trouve juste au-dessus d’une fine bouche rose. La jeune femme arbore souvent une expression triste et mélancolique, une grâce étonnante et une grande douceur se dégage d'elle. Elle voudrait vraiment qu'il en soit autrement, elle voudrait sourire en permanence mais elle n'a pas encore trouvé sa place et réglé certains détails. Ellen possèdent des cheveux épais et fluides qui tombent légèrement en cascade sur ses épaules. Ils sont d'un beau brun et possèdent des reflets caramel au soleil. La plupart du temps elle les laisse libres mais lorsque l'envie lui prend elle varie les coiffures, la jeune femme affectionne tout particulièrement les chignons et les tresses.
Ellen mesure environ un mètre soixante - quatorze, taille moyenne pour une jeune femme " de son âge ", sa silhouette est fine et élancée, elle lui donne une apparence chétive mais n'oublions pas sa véritable nature. Question vestimentaire Alana ne se casse pas la tête, elle met ce qu'elle aime c'est à dire des choses simples, sans chichi qui la mettent en valeur. Elle fait tout de même attention à porter des vêtements qui correspondent aux temps car étant un vampire elle ne ressent pas le froid et ne tient pas à se faire remarquer.

RELATIONS

Familiales : Richard / Lilian / Claire / Aro / Jane & Alec /
Amicales & Amoureuses : Lilian & Claire / Eric / Sarah

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HORS JEU

Prénom & pseudo(s) connu(s) : Lisa
Où avez-vous connu le forum ? Grâce à un Partenariat
Présence sur le forum [De 1 à 7] : 4 / 7 mais après le Bac je serais là souvent
Comment trouvez-vous le forum ? J’adore tout simplement *_*
Un mot à ajouter ? Aucun ^^
Célébrité : Alexis Bledel

L'HISTOIRE

Histoire, avant la transformation :

1870

<< Mary elle est magnifique regarde. Mary qu'est ce que tu as ? Mon Dieu mais tu saignes. Docteur venait vite. Docteur que se passe t - il ? Non c'est impossible. Pas elle. Faite quelque chose. Depêchez - vous. Allez. Vite. Plus vite. Mary chut calme toi. Tout va bien se passer. Non ne dit pas ça. Arrête. Taît toi je ne veux pas l'entendre. On prendra soin d'elle ensemble. DOCTEUR. Garde tes forces ma chérie. Ca va aller tu verras. Mary ouvre les yeux. Tu es brûlante. Reste avec moi. Je t'en prie mon amour. Je t'interdis de me quitter. Bât toi. RESTE AVEC MOI. Non ne me quitte pas. J'ai besoin de toi. Mary. Non. Mary. Mary. MARY ! >>

1880

<< Réveille toi. Allez debout saleté ! >>
<< HAaa ... >>

Alana encore à moitier endormie sentit qu'on lui empoignait le bras avec force et dans la seconde qui suivit elle fut jetée brutalement sur la sol, ce qui ne ùanqua pas de la reiveiller. Elle se redressa péniblement et leva la tête vers son père qui l'observait avec dédain. L'homme était débraillé et portait une chemise jaunit par le temps qui s'échappait d'un vieux pantalon rapiécé et troué. Ses cheveux gras étaient en désordre, ses yeux injectés de sang et une barbe de trois jours recouvrait ses joues rouges. Il empestait l'alcool et la sueur, rien d'étonnant à cela pour quelqu'un qui passe son temps à boire et qui ne connaît pas l'existence du savon. La fillette se contenta de le fixer avec arrogance en se demandant ce qu'il avait encore inventé pour pouvoir lui taper dessus.

<< J'espère que ta pauvre mère ne peut pas te voir de là où elle est, elle aurait honte de toi sans aucun doute. >> Cracha t - il amère. << Elle était belle, si belle ... >>

Il la contourna traversant lentement la pièce, les yeux dans la vague, murmurant sans jamais 'interrompre les même paroles : Belle, ho oui tellement belle, belle ... Il s'arrêta brusquement, se retourna et fit trois pas en direction de sa fille qui recula prudemment vers la fenêtre. Il éclata d'un rire gras et attrapa une bouteille de whisky posée sur la table juste à côté de lui.

<< Tu es misérable. Ta mère, elle ... Haa tu ne lui ressembles pas du tout. Je me souviens, ses cheveux blond ... >>
<< Elle était brune intervint Alana, la blonde c'est sans doute la putain que tu t'ai tapé l'autre nuit. >> Intervint Alana
<< La ferme tu ne sais pas de quoi tu parles !! >>

La bouteille d'alcool vola en sa direction mais Alana ne prit pas la peine de l'esquiver, elle s'écrasa sur le mur juste à côté d'elle et des éclats de verre tombèrent en cliquetant à ses pieds. La fillette avait raison et elle le savait, son père divagait et avait dans l'espoir de la blesser. Mais cela ne marchait plus, Alana avait l'habitude à présent ... Un jour elle était tombée sur une vielle photo toute craquelée prise le jour de leur mariage. Elle ressemblait trait pour trait à sa mère : La même bouche, le même nez, la même délicatesse des traits. Ce jour là elle avait pleuré, longtemps, la photo serrée contre son coeur. Elle se souvenait encore avoir pensé que si Mary n'était pas morte en la mettant au monde sa vie aurait pû être heureuse. Alana revint brutalement à la réalité quand elle se rendit compte que son père avançait vers elle à toute vitesse, elle voulut reculer mais elle était déjà contre la fenêtre. Il l'attrapa violamment à la gorge puis la frappa, une fois, deux fois. A la troisième la fillete vacilla et s'écrasa lourdement sur les bouts de verres qui lui meurtrissèrent mains et genoux. Alana se mordit la lèvre pour ne pas crier et sentit le gou^t du sang envahir sa bouche.

<< Je ne veux plus te voir, ce soir tu dormiras dehors. >>

La fillette ne protesta pas, de marbre elle se laissa entraîner et suivit son père qui dévalait les marches de l'immeuble miteux où ils vivaient. Une fois sa fille dehors il lui claqua la porte au nez et remonta se souler. Alana trembla comme une feuille et laisse enfin libre court à ses larmes. Paumes tendues vers le ciel, la pluie glacée nettoya ses plaies. La fillette soupira puis se mit lentement en route vers l'église qui une fois de plus allait lui offrir un toît.

1886

Au alentour de midi, moment de la journée où le soleil est le plus haut dans le ciel Alana arpentait les rues de Londres. C'était une journée agréable, chaude, sans nuages à l'horizon, alors comment ne pas profiter de ce temps si rare ? Cela faisait un peut plus d'une heure qu'elle marchait détaillant les gens et tout ce qui l'entourait quand finalement ses pas l'ammenèrent dans le quartier de la heute bourgeoisie. L'adolescente avança lentement, fascinée par se monde qu'elle détestait tant : les maisons, les jardins et les vêtements de grand luxe ... Ecoeurant mais tellement attirant ! Alan shoota dans un cailloux, ces gens vivent vraiment dans un autre monde, enfermés dans l'opulence sans se soucier des autres et sans connaître le froid ou encore la faim. Elle soupira, perdue dans ses pensées elle s'assit sur un banc et mit sa tête entre ses jambes contemplant le sol sans broncher. Pendant combien de temps était - elle restée comme cela ? Elle n'aurait su le dire !

<< Maman qu'est ce qu'elle fait la fille comme ça ? >>
<< Chut ne t'approche pas. >>

Alana se leva d'un bond reprenant ses esprits et fut prise de vertiges, elle se rassit prudemment en gémissant et tenta de se souvenir où elle se trouvait. Elle avait de plus en plus souvent des absences, s'évadant ailleur, rêvant d'une vie meilleure ... Qu'elle heure était - il ? Aucune idée, tard, bon sang son père allait bientôt rentrer et il ne voulait pas qu'elle sorte. Allez savoir pourquoi ? Encore une autre lubie, une interdiction de plus pour lui rendre la vie plus dure. Elle se mit à courrir, non sans avoir jeter un regard mauvais à la parfaite petite famille juste avant. Un poing de côté apparut rendant sa course plus difficile, bientôt elle eut du mal à respirer et Alana maudit son manque d'endurance, quand elle arriva enfin devant son immeuble elle était haletante on aurait dit un petit chiot qui mourrait de soif. L'adolescente entra chez elle, hésitante et sans bruit, l'oreille tendue : Rien. Elle soupira de soulagement et se détendit puis fit quelques pas en direction de la fenêtre et y appuya son front, le contact du verre froid lui fit du bien.

<< Où étais tu ? >>

Alana sursauta, son coeur manqua un battement et son crit de surprise mourut dans sa gorge. Instinctivement elle porta une main sur son coeur et regarda hébétée son père dans l'encadrement de la porte.

<< Je ... Je suis allée me promener. >> répondit - elle dans un murmure.

L'homme resta de marbre, se contentant de la fixer une lueur étrange dans l'oeil, les bras croisés sur son torse il avait l'air plus menaçant que jamais. Ces derniers temps Alana avait vraiment peur de lui, la dernière fois il avait faillit la tuer. Il était rentré un soir, complètement soule comme à son habitude et s'était dirigé droit vers elle comme une furie et avait commencé à l'étrangler. L'adolescente s'était résignée, prête à quitter se monde, heureuse même de retrouver sa mère mais elle s'était réveillée le lendemain matin croyant à un cauchemard mais les marques rouges sur sa gorge disaient le contraire.
Son père décroisa les bras et avança lentement vers sa fille qui se mit à trembler de tous ses membres. Qu'allait - il faire ? Tout bien réfléchit elle ne voulait pas le savoir.

<< J'ai fais toutes les corvées avant de sortir, la maison et propre et j'ai acheté de quoi manger. >>

Il se rapprochait toujours, , encore ...

<< Je ... Je ne suis pas restée longtemps dehors je te le jure et .. Haa >>

Il venait de prendre son visage entre ses mains et sérrait aussi fort qu'il le pouvait, Alana poussa un crit et les larmes lui montèrent aux yeux. Elle voulut le suplier, lui dire d'arrêter la douleur était insupportable mais cela n'aurait servit à rien et elle le savait. Elle agrippa ses avant bras, essayant de le repousser mais elle manquait de force. Sa pitoyable tentative le fit sourire, le transporta de joie même. Alana eut un haut le coeur quand soudain il la lâcha, l'adolescente tomba se cognant la tête au passage. Sonnée elle releva mollement la tête.

<< Il est temps que tu me serve à quelque chose, allez viens là ! >>

Alana soupira, elle pensait qu'il en avait finit avec elle et au lieu de cela il l'entraînait dehors en lui tirant les cheveux. Elle n'émit aucune plainte, lâsse, elle se laissa guider au bout de la rue. C'est alors qu'un éclair traversa l'esprit de la jeune fille, elle prenait soudain conscience de ce que son père envisageait pour elle.

<< Jamais ! >>

Alana se débattit essayant d'échapper à son emprise, elle ne pensait qu'à une chose : Fuir aussi loin que possible. De toute manière elle n'avait plus rien à perdre. Mais son père lui ne renonça pas continuant de la traîner tant bien que mal, il finit par lui asséner un coup de poing dans le visage. Sonnée, l'adolescente s'écroula par terre le nez dans la poussière. Elle tenta de ramper, fuir, fuir, mais ses membres ne lui obeissaient plus et elle ceda lorsqu'elle sentit qu'on l'entraînait à l'interieur du bar.

<< Je t'amène une nouvelle fille Lilian >>

Une femme se trouvait derrière le bar et essuyait des verres avec un torchon. Elle ne prit pas la peine de se retourner et lança avec lassitude.

<< Qu'est ce que tu racontes encore Richard, le bar n'est pas ouvert tu n'auras rien, reviens ce soir. >>
<< Ce n'est pas pour moi que je viens mais pour ... HEY OU TU VAS ?? Reste ici petite garce. >>

Richard rattrapa promptement Alana par le bras mais celle - çi lui échappa à force de se débattre comme une furie et finit par perdre l'équilibre. L'adolescente vacilla tomba sur une table tête la première et rebondit sur le sol. Poussa un gémissement elle se recroquevilla sur elle - même et porta sa main à sa tempe d'ou un filet de sang s'échappait.

<< Doux Jésus ! >>

Lilian jeta son torchon sur le comptoire et se précipita vers Alana pour éxaminer sa blessure. Rien de grave, l'entail n'était pas très profonde elle arrêterait bientôt de saigner et demain une belle bosse ferait son apparition.

<< Crois tu que quelqu'un voudra d'elle si tu l'amoches à chaque fois que tu en as envie de te d'éfouler Richard ? >>

Ce dernier ne répondit pas, il pinça les lèvres pour contenir sa fureur et tourna brusquement les talons avant de disparaître. Alana soupira et se redressa mais un vertige la prit et sans l'aide de Lilian elle se serait à nouveau éffondrée. L'adolescente commençait sérieusement à en avoir assez de cotoyer le plancher et de recevoir les coups sans broncher, elle ne supportait plus sa vie actuelle. La patrone la conduisit fermement vers le bar et l'assit sur un tabouret avant de revenir avec une serviette emplit de glaçons.

<< Applique ça sur ta tempe, cela devrait te faire du bien. >>
<< Merci ... Ecoutez, que se soit claire, il est hors de question que je devienne une ... Putain. >>

Lilian se tourna vers l'adolescente les mains sur les hanches et la dévisageant sans retenue, le visage impassible. De son côté, Alana en profita pour faire de même et après l'avoir bien regardé de la tête au pied, elle décreta que cette femme lui plaisait. Au bout d'un moment Lilian se dérida et éclata de rire sans prévenir. Alana sursauta interloquée s'étant attendu à des cris ou encore des insultes.

<< Tu n'as pas ta langue dans ta poche jeune fille, tu me plaît bien ! J'ai justement besoin d'une serveuse ... Qu'en penses tu ? >>
<< Hum ... J'en dit que cela me va. >>
<< Alors monte vite à l'étage et demande aux filles de te trouver une tenue correcte, tu jeteras ta robe à la poubelle. >>

L'adolescente fronça les sourcils et baissa les yeux sur ses vetêments usés et rapiécés, Lilian n'avait pas tord mais elle hésitait à demander de l'aide aux autres filles et regardait les escaliers d'un oeil méfiant.

<< Qu'est ce que tu attends ? As tu peur ? Je te pari que la moitier des filles sont en haut des marches et ont tout entendu. >>

Alana rougit et se rappella les mots qu'elle avait prononcé un peut plus tôt " Il est hors de question que je devienne une putain " et si les filles étaient en colère ? Après tout il y avait de quoi. Des gloussements retentit alors et des voix l'invitèrent à monter. Bon et bien si il le fallait ...

Histoire, après la transformation :

1888

Sans cesse à mes côtés s’agite le Démon ;
Il nage autour de moi comme un air impalpable.
Je l’avale et le sens qui brûle mon poumon,
Et l’emplit d’un désir éternel et coupable.
* B A U D E L A I R E

1990

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